Une soirée Chaude [Pv: Takahiro Okazaki]

Invité

J'étais à l'hopitale, j'avais beaucoup de travaille, vraiment je ne savais plus ou donner de la tête tellement il y avait de passient ! Alors que je prenais une pause histoire d'aller voir mon ami qui est aussi docteur ici, il était assit en train de boire son café expreso, je lui sourit et m'assia en face de lui.

-" Tu est de garde cette nuit Carlisle ?"

Je lui fit signe que non, il savait que je ne travailler pas souvent la nuit à part quand il avait vraiment besoin de moi, je lui sourit une nouvelle fois et lui demanda de ma vois douce et tendre.

-" Qui est de garde ?"

Il me sourit à son tour, content que j'ai posé la question, il passa une main dans ces cheveux roux et regarda la feuille de garde pour cette nuit, il soupira de soulagement apparament il n'était pas de garde vue combien il était content.

-" Linda, Mickael et Sahra."

Je lui sourit et le remercia avant de retourner travailler, la journée était vite passer, je soupirais et allais vers ma voiture, je voulais revoir ma femme, je monta dans mon véicule et l'alluma, j'allais à une vitesse résonable histoire de ne pas avoir d'ennuis avec le chérif du coin, j'arriva enfin à la villa et vis Takahiro Okazaki, une jeune fille vraiment très gentille, je retira ma veste et me posa dans le canapé pas loin de la jeune fille, Esmée ne devait pas être rentrée du boulot, Emmett et Rosalie devait être à la chasse, Jasper et Alice était chez les Denali, alors j'étais seul avec elle, je lui sourit gentillement.

-" Comment va tu ? Pas trop fatigué ?"

Invité

Ma journée fut très mouvementer après deux cadavres dur a identifier, j’ai été chasser pour pouvoir allez au lycée pour la réparation des ordinateurs, j’était venu attendre Carlisle chez lui, il m’avait rassurer que sa femme était chez une amie et qu’elle reviendrait tard, je suis attirer vers cet homme, il me fait perdre la tête mais lui il a une famille sa deviens impossible sais bien connu

« Tout le monde rêve d’embrasser Carlisle »

En doutait t-il vraiment, je me souvent demander combien il a de maîtresse mais je me fait pas d’histoire même si moi je vois trop loin sentimentalement. J’avais trouver un cerf, le ‘’souper’’ préférer de mon amour, ne me demander pas comment mais je me retrouve avec deux vers de sang. J’étais habillé simplement et je ne portais pas de dessous.

J’entends sa voiture, il entre et retire sa veste et la pose a coter de moi, il a est sur moi * lui il est debout dernier le canapé et moi je suis assis, j’imagine pas quelque chose de coquin* Il me dit avec sa douce voix

Citation :: -" Comment va tu ? Pas trop fatigué ?"

Je prend appui et je l’embrase doucement, je me rassis et je lui souri. Je dois bien lui répondre non

« Je vais laisser mon travail au magasin mais sa va j’aime travailler sa m’occuper et tu sais qu’on peux pas être fatiguer physiquement même si je suis qu’a moitié comme toi »

Invité

J'étais debout juste derrière elle c'est alors que je commencais à lui masser le cou ensuite les épaules. Je voulais qu'elle soit détendue et bien dans sa peau et lui carressais également ses doux et lisses cheveux noirs. Je savais qu'elle aimait bien que je lui fasse ca. Elle me répondis qu'elle allait mettre fin à son travail au magasin et qu'elle n'était mienne qu'à moitié. Elle avait raison car la première à mes yeux n'est autre que Esmée et ca, ca ne changerait jamais et elle le savait pertinamment. Après mon petit massage j'allai m'assoir à ses côtés et je pris le verre qu'elle avait préparer à mon intention et bus un gorgé. Elle avait pris du sang cerf qui était celui que je préférais bien plus que les autres. Je déposai mon verre sur la table basse et je la regardai dans les yeux, ils étaient magnifiques et je me baignais dedans sans me rendre compte puis je lui fis un petit sourir et lui caressai sa joue droite avec délicatesse et passion. Je ne pouvais m'empêcher de la toucher et elle ne pouvait pas me résister. Elle aurait bien voulu être mienne à cent pour cent mais c'était impossible. Je passai mon doigt sur son bras jusqu'à sa guisse.

- Tu es belle et suis ravi que tu sois venue me voir ce soir. Je ne sais pas pourquoi mais tu me plais beaucoup.

C'était surement pas une révélation mais il fallait que je lui dise. Je la regardai avec de l'amour plein les yeux attendant de voir se qu'elle voulait faire.